Je vous souhaite le Paradis Parole – Sam

Je vous souhaite le Paradis Parole by Sam

Texte fleuve plume à l’œil
J’écris avec l’iris je perds la vue au fur et à mesure que l’encre,pleure sur la feuille
J’essaie de peindre un instant d’vie avec un putain d’feutre
J’essaie d’éteindre l’incendie avec une arme à feu

Ils ont fait des bancs en zigzag pour qu’les SDF dorment pas, c’est pas sympa
S’ils savaient la misère qui s’passe en bas
Crack à Pigalle, sh#t à Belleville coke à Nation
Gun qui braque hôpital, fin d’une belle vie condamnation

Ligne 2 je la traverse en étant maudit
La vie nous détruira la face on finira comme Modie
« Comment tu trouves les mots dis ? » Admiratif le voisin m’pose la question
C’est eux qui m’ont trouvé, que j’lui réponds

Les rappeurs me reprochent, de leurs avoir piqué leurs fans
Est-ce qu’on reproche au temps qui passe son poison quand les fleurs fanent ?
Me voilà reparti, dans la vanité, au lieu d’être sincère
Avoir une tête ça sert, c’est peut-être, ma seule qualité

J’réfléchis à outrance, le keuf me colle un outrage
J’pensais pas qu’la haine nous tiendrai par le col à notre âge
Forcé d’constater qu’on grandit mais, qu’on est restés, mioches
Ce jeu ne finira jamais, prends ton +2 et pioche

Si tu montes sur scène avec moi c’est qu’on est restés, proches
Qu’on marchait déjà ensemble, avec rien dans les poches
Ma mère est fière d’moi…
(En tout cas gros, comme je te disais frérot, le truc c’est qu’il faut pas lâcher

Pense à tout le monde
Pense à ta famille
Y a pas que toi
Tout le monde pense à toi frérot

T’es pas tout seul dans le truc
Là ça veut dire gros, en vrai, si tu penses qu’à oit
C’est mort, pense aux gens qui sont autour de toi
Ne te sabote pas

T’as du talent frérot, les gens comme oit y en a pas beaucoup)
Chérie casse pas les couilles avec tes onomatopées
J’aime que la zik jamais t’entendra dire qu’la sono m’a trompé
Le genre de truc que j’disais, pendant qu’ton cœur se consumait

Si on s’recroise dans la street et qu’on s’regarde c’est qu’on s’aimait
« Comment ça va, bien et toi? Ça fait longtemps, combien d’temps déjà? Ça raconte quoi? Ok bye, ptêtre qu’on s’reverra »
On est passés des rapports cardio, aux rapports cordiaux
Mais au fond j’m’en bat les couilles, tant qu’je rappe encore, yo

Deuspi comme Sadio faut qu’j’élimine et qu’j’marque le but
Fendi girl sac Dior elle est attirée par les marques de luxe
Même s’ils sont spatiaux elle me kiffe pas pour mes attributs
J’esquive l’occasion d’rester je file en 4 minutes

Vestiges de studios finissent sur un album solo
Vertiges trou d’cerveau à cause de c’truc dans l’bout d’cello
Mes potes, se zombifent et le monde, se modifie et les yeux, presque humidifiés j’sais plus, trop à qui m’fier
J’ne pleure que quand mes joues caressent gelées le temps pluvieux

Les gamins fument déjà paraissent jeune en même temps plus vieux
Le monde qui part en couille nous rend pas moins aventureux
J’suis parti voir en d’ssous on s’pète au moins un quand tu reviens
On a tous la dalle, et y’a pas beaucoup d’assiettes

Pour s’en tirer comme des rois faut faire le coup d’un siècle
J’ai la rage de vaincre même sans raquette on jouera l’set
T’avais six liasses de billets je t’en ai chourave sept
Thématique alternative, j’écris c’est comme une thérapie je n’épouse pas les lois que ces rappeurs de merde appliquent

Ma mère est fière d’moi
Ma mère est fière d’moi
(Ne te sabote, ne te sabote pas frérot, surtout pas
Pense à ta sœur, pense à ta mère)

J’ai vu des histoires de cœur, des histoires de gun, si tes gars veulent des histoires dis leurs que j’ai vu, de quoi finir aveugle
J’suis pas un drug dealer, juste un gros killer de microphone si le
Mien est branché tu te changes en fossile
La mort elle me pèse, l’amour il me baise

Comment faire pour arborer les braises, sans brûler mes rêves
Tout est bloqué
Élaborer mon seize en quinze secondes à peine
Tout est OK

J’adorais mon frère mais c’est dev’nu un traître je tires un trait
Dans le passé t’irai presque si seulement tu pouvais changer ces histoires de cœur ces histoires de gun et j’f’rai pareil
Les victoires les pleurs des proches le sang les vitres à réparer
Le vice tard effleure mes poches les gens s’évitent sont séparés

J’vais rapper vite, assez parlé, voilà mon réflexe de timide pour me protéger du monde, voiler mon reflet c’est triste
J’voulais me refaire c’est pire, j’veux le million frère c’est ridicule
Dis-moi avec qui tu traines j’te dirais si t’es un fils de pute
Le goût amer du seum j’vais crever avec

D’ici là j’braque le sun et j’fais briller mon reflet avec
Le bénéfice j’ai dû faire sans puis j’ai tout refait avec
Dès qu’je peux j’essaye de faire croquer mes refrès avec
J’ai des visions quand j’pose mon nom sur ce putain d’chèque

Le paradoxe la Terre n’a pas d’prix mais le monde s’achète
J’ai jamais trouvé ma liberté dans les sachets
J’suis triste mais un peu moins qu’avant, et j’voulais qu’vous le sachiez
C’est pas toujours les meilleurs qui gagnent, j’ai pas encore gagné

Mais c’est toujours les meilleurs qui canent, j’ai pas encore cané
Ma mère est fière d’moi, elle m’attend sur le parvis
Si c’est mieux que d’sourire dans ses bras j’vous souhaite le paradis
Si c’est mieux que d’sourire dans ses bras j’vous souhaite le paradis
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Je vous souhaite le Paradis Lyrics English

Plume river text to the eye
I write with the iris I lose my sight as the ink cries on the sheet
I try to paint a moment of life with a f#cking felt
I try to turn off the fire with a gun

They did zigzag benches so that homeless people don’t sleep, it’s not nice
If they knew the misery that spales down
Crack in Pigalle, sh#t in Belleville Coke in Nation
Gun who breaks hospital, end of a good life condemnation

Line 2 I cross it by being cursed
Life will destroy our face we will end as a modie
“How do you find the words say?” “Admir the neighbor gives me the question
They were the ones who found me, that I answered him

Rappers blame me, for having bitten their fans
Do we criticize the time passing your poison when the flowers fade?
Here I am, in vanity, instead of being sincere
Having a head serves is maybe my only quality

I am excessive, the keuf sticks me an outrage
I did not think that the hatred will hold us through the pass at our age
Forced to see that we are growing but, that we stayed, mioches
This game will never end, take your +2 and pick

If you go on stage with me it is that we stayed, close
That we were already walking together, with nothing in the pockets
My mother is proud of me …
(In any case, as I told you Frérot, the thing is that we must not let go

Think of everyone
Think of your family
It’s not just you
Everyone thinks of you Frérot

You’re not alone in the thing
There it means big, in real life, if you think that in it
It’s dead, think of people around you
Don’t sabot

You have Talent Frérot, people like they are not much)
Darling does not break the balls with your onomatopoeias
I like the Zik never heard you say that the sound system deceived me
The kind of thing I said, while the heart was consumed

If you go back to the street and come on, it was like that we loved each other
“How are you, well and you?” How long has it been? What does it say? Ok bye, ptêtre that we will meet ”
We have gone from cardio reports to cordial reports
But basically I beat my balls, as long as I recall again, yo

Deuspi as Sadio must eliminate and Marque
Fendi girl bag dior It is attracted to luxury brands
Even if they are space she likes not for my attributes
I dodge the opportunity to stay I go in 4 minutes

Studios’ remains end on a solo album
Brainhole dizziness because of C’truc in the end of the cello
My friends, zombifife and the world, changes and the eyes, almost moistened I know more, too much to whom myself
I cry that when my cheeks caress the rainy weather

Kids are already smoking young at the same time older
The world who goes into a ball makes us no less adventurous
I’m gone to see in Ssous, we are trying at least one when you come back
We all have the slab, and there are not many plates

To get away with it as kings you have to make the blow of a century
I have the rage to defeat even without a racket we will play the set
You had six bundles of tickets I chourave seven
Alternative thematic, I write is like therapy I do not marry the laws that these shitty rappers apply

My mother is proud of me
My mother is proud of me
(Don’t sabotage, don’t sabot a Frérot, especially not
Think of your sister, think of your mother)

I saw stories of heart, Gun stories, if your guys want stories say that I have seen, what to finish blind
I’m not a Drug Dealer, just a big killer of microphone if the
Mine is connected you change your fossil
Death she weighs me, love he f#cks me

How to wear the embers, without burning my dreams
Everything is blocked
Develop my sixteen in barely fifteen seconds
Everything is OK

I loved my brother but it is a traitor I draw a line
In the past you will almost go if only you could change these stories of heart these stories of Gun and I will the same
Victories The tears of relatives blood The windows to repair
The late vice tackles my pockets people avoid themselves separated

I’m going quickly, talk enough, this is my shy reflex to protect myself from the world, veil my reflection is sad
I wanted to do it again, it’s worse, I want a million brother it’s ridiculous
Tell me who you hang out I would say if you’re a wh#re son
The bitter taste of the Seum I am going to die with

Until then I take the Sun and I make shine my reflection with
The benefit I had to do without then I redone everything with
As soon as I can try to make my refressers eat with
I have visions when I dose my name on this f#cking check

The paradox the land is priceless but the world is bought
I never found my freedom in the sachets
I’m sad but a little less than before, and I would like to know it
It’s not always the best who win, I haven’t won yet

But these are always the best who cane, I haven’t been in it yet
My mother is proud of Mo
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Sam Lyrics – Je vous souhaite le Paradis

Sam

Je vous souhaite le Paradis