Atmosphère pesante sur les épaules, je suis dans la rue le Ciel est gris, il
Bétom, mais non
Et on, s’défonce
Faisons un choix mais partons ou, restons
Aveugle au monde des Idées
Soleil dans lentille convexe a brûlé la rétine
Le temps ralentit ou s’arrête, l’eau ne coule plus
Je marche ou je cours plus
L’estomac noué quand tu croises n’importe qui
Parce qu’il peut être dangereux
Avoir une lame sous la manche
Surtout en ces temps qui avancent
Tu croises un autre type mais celui-ci est parterre le crâne qui saigne
C’est lui ou toi donc tu l’ignores mais t’aurais peut-être pas dû, qui sait
Reste pas ici, l’ambiance est sombre
A l’écart de ce monde vide et froid, j’enregistre des sons
Y a plus beaucoup de bonheur que nous connaissons
Haut comme les Grues, tout en haut comme les Grues
Dans les Cieux j’entends que les bruits des Grues
Ils prennent le progrès comme absolu, futuriste sans être collapsologue
Tout le monde fait sa vision, en oubliant que les collabs sont loin
Enfermé dans impulsion nécessaire, celui dont la bite bande doit tourner en rond
Emprisonné dans ma liberté de naître, le Big Bang voit tout le néant rompre
Je regarde le miroir je ne vois pas d’âme, que des contours, une silhouette au mieux
Tu comprendras pourquoi je fais tant de références aux Cieux
Haut comme les Grues, tout en haut comme les Grues
Dans les Cieux j’entends que les bruits des Grues
Suis-je dans réalité, femmes pulpeuses, intentions ignobles ?
Ça pue l’bug, en plus cru
Dans une rue, un lampadaire clignote
Tu penses amener le monde avec toi
Mais même les Arbres sont timides, donc
Tu veux faire quoi ?
Tout le monde gobe des pilules
Une seringue entre les doigts de pieds, est-on destiné à cette vie nulle ?
Les Arbres sont timides, ça ne les empêche pas d’être grands, et de tracer des routes dans le Ciel
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Remonte Lyrics English
Heavy atmosphere on the shoulders, I’m in the street the sky is gray, it
Betom, but no
And we do notify
Make a choice but let’s go or, stay
Blind to the world of ideas
Sun in convex lens burned the retina
Time slows down or stops, water does not flow
I walk or course anymore
The stomach knotted when you meet anyone
Because it can be dangerous
Have a blade under the sleeve
Especially in these times that advance
You meet another type but this one is lit the skull that bleeds
It is he or you so you know it but maybe you should not have, who knows
Remains not here, the atmosphere is dark
Beyond this empty and cold world, I save sounds
There is more a lot of happiness that we know
Top like cranes, at the top like cranes
In the heavens I hear that the noise of cranes
They take progress as absolute, futuristic without being collapanologist
Everyone makes her vision, forgetting that collaborates are far away
Enclosed in impulse necessary, the one whose band dick must turn in circles
Imprisoned in my freedom to be born, the Big Bang sees all the nil break
I look at the mirror I do not see any soul, that contours, a silhouette at best
You will understand why I make so many references to heaven
Top like cranes, at the top like cranes
In the heavens I hear that the noise of cranes
Am I in reality, luscious women, ignoble intentions?
It stinks the bug, more raw
In a street, a lamppost flashes
You think to bring the world with you
But even the trees are shy, so
What do you want to do ?
Everyone gobble pills
A syringe between the fingers, is one intended for this null life?
The trees are shy, it does not prevent them from being great, and to draw roads in the sky
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