Et les voilà, syphilitiques Sisyphes, voleurs de vie de notre bonheur! Fouillant les poubelles de l’histoire
Parasites paralysant nos forces vives d’inertie contagieuse
Les Chants de Nihil
Félonne Parole – Les Chants de Nihil
Tapie dans l’ombre et dans la crasse
Prête à bondir sur le geôlier
Dissidence décadente Parole – Les Chants de Nihil
Râle de caste sale
Éructant sa becquée
Les reines de verre Parole – Les Chants de Nihil
Nous y voilà enfin! Et même à trois contre un
Murmures haletants s’embrumant de nos lèvres
Hymne de la commune Parole – Les Chants de Nihil
À l’aube d’un destin nouveau
À la Commune rendons grâce
Du feu et des étoiles Parole – Les Chants de Nihil
Nous avons espéré l’étincelle naissant
Du néant abyssal, cet indolore amant
Fête de la fédération Parole – Les Chants de Nihil
Les plumes d’or scintillent autour de moi, au zénith de l’an un, jour premier. Sur l’esplanade vous saluons, nous, frondeur fédérés. Plus intense encore est l’éclat de la sueur perlant sur vos fronts levés, d’une trop ancienne gangrène désormais lavés
Grand accusateur de l’hexagone au crépuscule du millénaire de la Rébellion, j’ai porté la blasphématrice dynamique des sons. Au front de la guerre, contre les ouailles dans leur tranchée, nous еt nos chères têtes blondes lеur pisseront au visage, du toit du monde