Unreal Story Part 1 Parole – Fred Nevché

Unreal Story Part 1 Parole by Fred Nevché

La nuit, je consomme chaque jour comme le dernier
Je me pousse à bout, je crame, j’consume, j’éreinte
Dans mes bras, j’ai découvert de quoi renverser tout pour un destin
M’appartenir au mieux sans plus souffrir les grands écarts qui pourrissent ma vie

Pour ça, je tire, j’exagère, enfonce aussi loin que je peux
M’éloignement dépossédé
Je refuse de travailler, c’est ainsi, j’aime être ailleurs
J’ai laissé mon cœur à l’étage et j’écris ces vers

Ces vers sincères, plus gros que moi
Qu’un jour peut-être on se lira
Ces vers si clairs qu’ils me libèrent
Pudiques, gorgés de vérité

Si simples, qu’ils seront aurore à jamais
Comme il est juste de tout tenter
Ca aide à tout mieux percevoir
J’étais né pour tout conquérir, sans rien chercher à posséder, aujourd’hui c’est fait et alors ?

Oui, c’est moi
Tout ce matin qui vais, d’une impeccable clarté, composer ces vers
Sans quitter des yeux le chemin depuis le ciel et l’horizon devant
La vie dans ses dérives offre bien plus de perspective que de regrets

Ce soir, c’est moi qui régale, c’est la mienne, c’est pour moi
Ce soir, je vais exagérer
Vrai dramatique du destin je vends mon âme pour des segments de solitude, pacotille dont j’ai besoin pour m’assurer que chaque minute qui passe n’est faite d’aucune autre chose que de volupté
Pour me donner du courage, m’autoriser l’audace de dire tout vraiment, je m’pousse à bout, m’éreinte, m’étreins jusque dans mes secrets

Là, juste, c’est moi
Aucun défi me hante, nul besoin de produire le moindre effort
Seules l’élégance et la légèreté trouvent grâce à mes yeux, une place où, reste de moi juste de quoi n’être que moi, pas plus
Pris sur le fait, mes mots contestent toutes les limites, rasent la quasi-totalité des généralités, éclipsent le quotidien, ajustent la moindre syllabe pile à ma taille quand il y a plus rien, plus que du vide, plus à la fin, que moi

Mes mots au fond n’ont qu’une idée : me traverser, découvrir qui je suis
Mes horreurs se sont adaptées c’est comme ça, le jour j’ai peur je réfléchis trop je manque d’air, j’ai pas le choix j’aime mieux la nuit, (ouh)
Pas d’inquiétudes moi, vous savez, ça va
Je suis bien seul, dans mon abri quand il y a plus rien, qu’il y a plus personne, qu’il reste moi, à cet endroit que moi, la nuit

A bien y réfléchir, à tout considérer, à l’intérieur, ni plus, ni moins que ça
Quand le jour se rapproche, que je vais droit au but
Détacher quotidien sans rien d’autre, sans rien
A cette heure avancée, que de simples idées formulées comme il faut

Une pluie de justesse s’abat soudain sur moi
De son flux me transperce, balaie mes forteresses
Une pluie qui provient d’au-delà, tout au bout, du fin fond de moi
Une pluie d’eau si claire que je m’y suis baigné

Il y a longtemps que je t’aime, jamais ne renoncerai
Il y a tant à faire, par-delà la fatigue, par-delà le chagrin, quand vidé au petit matin je me sens de balancer
Cherchant la beauté et la force de dire ce que j’ai sur le cœur avec la certitude que je suis à l’endroit précis où ma voix doit se mettre pour donner sans effort sa pleine mesure
L’émotion de cela

Là, j’me pose, je sais que je me suis trouvé
Et c’est neuf, je peux y prétendre, je tue la méchanceté
Je tue, la méchanceté
Je tue, la méchanceté
Find more lyrics at westlyrics.com

Listen to their music here
WestLyrics.com Amazon Music    WestLyrics.com Apple Music
Disclosure: As an Amazon Associate and an Apple Partner, we earn from qualifying purchases

Unreal Story Part 1 Lyrics English

At night, I consume every day like the last
I push myself out, I’m craming, I’ll meet, I’m
In my arms, I discovered what to spill everything for a destiny
To keep me at best to suffer the big differences that rot my life

For that, I shoot, I exaggerate, drives as far as I can
Measuring me deposited
I refuse to work, so I like to be elsewhere
I left my heart upstairs and I write these verses

These to sincere, bigger than me
That a day maybe we will read
These verses so clear that they free me
Padic, sangés of truth

So simple, that they will be dawn forever
As it is just trying to
It helps to better perceive
I was born to conquer everything, without trying anything to possess, today is done and then?

Yes it’s me
All this morning, with impeccable clarity, compose these verses
Without leaving the way from the sky and the horizon in front of
Life in his excesses offers much more perspective than regrets

Tonight, it’s me who treats, it’s mine, it’s for me
Tonight, I’m going to exaggerate
Real dramatic of destiny I sell my soul for segments of loneliness, skunk I need to make sure every minute that passes is made of any other thing than voluptuousness
To give me courage, to allow me the audacity to say everything really, I pulled myself at the end, me, myself comes into my secrets

There, just, it’s me
No challenge haunts me, no need to produce any effort
Only elegance and lightness find thanks to my eyes, a place where, remains of me just enough to be me, no more
Taken on the fact, my words contest all the limits, shave almost all of the generalities, eclipse the daily, adjust the slightest syllable stack at my waist when there is nothing more than vacuum, more at the end, than me

My words basically have only one idea: cross me, discover who I am
My horrors have adapted it’s like that, the day I’m scared I think too much I miss air, I have no choice I like night, (ouh)
No worries me, you know, it’s okay
I am alone, in my shelter when there is nothing more, that there is no one, that there remains me, at this place than me, the night

To think about it, to consider everything, inside, neither more or less than that
When the day is getting closer, that I go straight to the goal
Daily detach without anything else, without anything
At this time advanced, that simple ideas formulated properly

A narrow rain suddenly falls on me
Of his flow transpensate, sweeps my fortresses
A rain that comes from beyond, at the end, from the end of me
A shower of water so clear that I bathed it

It’s been a long time since I love you, never give up
There is so much to do, beyond fatigue, beyond the sorrow, when emptied in the early morning I feel good
Seeking the beauty and strength to say what I have on the heart with the certainty that I am at the precise place where my voice must start to give effortlessly his full measure
The emotion of that

There, I ask, I know I found myself
And it’s new, I can pretend, I kill the wickedness
I kill, the wickedness
I kill, the wickedness
Find more lyrics at westlyrics.com

Fred Nevché Lyrics – Unreal Story Part 1

Fred Nevché

Unreal Story Part 1